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AlienVs. Predator. (6,796) 5.6 1 h 40 min 2004 X-Ray PG-13. The fun begins when scientists and explorers discover an ancient pyramid in Antarctica. But the structure isn't the only behemoth in the ice. A battle between two otherworldly populations is threatening to destroy the region and its inhabitants for good.
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Dansla chronologie, ce film prend place aprÚs Predator 2 et avant Alien, le 8Úme passager. On retrouve ici Charles Bishop Weyland en humain, qui était un androïde, dans Alien, le retour et Alien 3 , faisant référence à la Weyland-Yutani Corporation.
Predator(1987), directed by John McTiernan, whose next film would be the hugely successful Die Hard (1988), solidifying his status as the director with the most machismo in Hollywood, stars the great lumpy one (Ahnold), although not quite as lumpy as he was in his first major action film, Conan the Barbarian (1982), along with Carl Weathers (Apollo Creed from the Rocky films),
Vay Tiá»n TráșŁ GĂłp Theo ThĂĄng Chá» Cáș§n Cmnd. ï»żAliens vs. Predator Requiem 2 January 2008 5K membres Sur Terre, tout le monde vous entend crier ⊠Un Alien issu d'un Predator, appelĂ© Predalien, dĂ©cime un vaisseau Predator, mettant hors d'Ă©tat de fonctionnement ce dernier, qui s'Ă©crase sur Terre, non loin de Gunnison, une ville amĂ©ricaine. Rapidement, les face-huggers retenus en captivitĂ© dans le vaisseau s'Ă©chappent, ainsi que le Predalien, contaminant peu Ă peu les habitants de la ville. En rĂ©ponse Ă ce grave incident, un ancien PrĂ©dator expĂ©rimentĂ©, surnommĂ© Wolf, est envoyĂ© sur Terre afin d'Ă©liminer la menace XĂ©nomorphe, effacer toutes les preuves concernant l'existence des Aliens et des Predators, mais surtout, Ă©liminer le terrible danger que reprĂ©sente le Predalien.
Le 11/11/2008 Ă 0330 Par S'il est une vĂ©ritable injustice, c'est l'oubli dans lequel est tombĂ© Predator 2. Certes, si le film de Stephen Hopkins n'arrive pas Ă s'Ă©lever au niveau d'excellence de l'Ă©pisode signĂ© John McTiernan, il s'impose nĂ©anmoins comme un bon gros divertissement de studio comme seules les annĂ©es 80 savaient en faire mĂȘme s'il date en fait de 90. Tout ce qu'on aime, en tout cas Bourrin, sec, efficace, violent, ne lĂ©sinant pas sur l'hĂ©moglobine et certaines idĂ©es trashs totalement farfelues, le tout baignĂ© dans un univers urbain aux relents de SF Ă©vidents. Le genre de produit correspondant totalement aux achats pour lequel on n'a pas besoin de rĂ©flĂ©chir, on fonce ! Une bonne raison d'oublier les deux navetons AVP et AVP 2, surtout que le Blu-Ray est techniquement splendide... Image 9/20 Oh le pied ! Mais quel pied ! En ouvrant le boitier bleu, on n'espĂ©rait sincĂšrement pas tomber sur une Ă©dition aussi soignĂ©e. D'une part parce que le film a dĂ©jĂ plus de 18 ans mais surtout que le traitement infligĂ© au premier opus culte, et tout le bazar qui va avec ne laissait aucune chance Ă cette suite parfois inconnue... Et bien on ne sait pas si Fox a changĂ© sa ligne Ă©ditoriale ou s'il est question de se faire pardonner, mais redĂ©couvrir le film dans de telle condition est un vrai bonheur. Si, si... C'est bien simple, tout est bon Ă prendre. Le point le plus essentiel Ă©tant qu'on a ici jugĂ© bon d'enfin encoder le film en Mpeg 4 au lieu du Mpeg 2 du premier film, autorisant tous le confort d'encodage nĂ©cessaire. Un simple coup d'Ćil sur la prĂ©cĂ©dente Ă©dition DVD, pourtant de dĂ©jĂ trĂšs bonne facture, dĂ©montre nĂ©anmoins que Predator 2 avait vraiment besoin de la haute dĂ©finition pour ĂȘtre apprĂ©ciĂ©. Parce qu'il s'agit avant tout d'une Ćuvre hyper esthĂ©tisĂ©e, bĂ©nĂ©ficiant d'un style visuel et d'une charte de couleurs trĂšs soignĂ©e concoctĂ©e par un directeur photo trĂšs inspirĂ© et ça, c'Ă©tait avant l'Ă©poque des retouches digitales. Du noir, du bleu, du mauve, de l'ocre Ă foison... tout se marie Ă merveille, sans sourciller. Histoire de se compliquer la tĂąche, Hopkins s'est embarrassĂ© d'Ă©lĂ©ments qui en gĂ©nĂ©ral ne font pas bon mĂ©nage pluie avec lumiĂšres UV entourĂ© de fumĂ©e, etc et pourtant, lĂ encore, pas la moindre fioriture au programme d'une copie qu'un jurerait fraichement dĂ©veloppĂ©e. C'est beau, c'est propre, c'est net, ça et respire franchement la SF d'usine de l'Ă©poque impossible de ne pas penser Ă l'univers de Paul Verhoven sur certains dĂ©cors. On ne peut qu'apprĂ©cier. Son 8/20 Vous avez lavĂ© vos pieds ? Parce qu'il y a une fois encore franchement de quoi se les prendre. C'Ă©tait dĂ©jĂ flagrant sur le dernier DVD, mais pour un film de cet Ăąge, la bande son est une vĂ©ritable claque, tant la puissance de son ouverture des canaux avants offre une dynamique Ă©patante entre les voix d'une grande limpiditĂ© et sa bande originale trĂšs "tropicale" des plus enveloppantes. Presque 20 ans au compteur et c'est frais, c'est neuf, ça respire totalement, rendant les honneurs Ă DTS HD Master Audio particuliĂšrement gĂ©nĂ©reux en terme d'immersion. Un vrai enveloppement, privilĂ©giant donc la musique du film, laissant Ă©vacuer ça et lĂ quelques Ă©carts jamaĂŻquains Ă©tranges Alan Silvestri oblige et autant d'effets plus qu'efficace. Le film proposant tout ce qu'on attend de coups de feu et d'explosions en tous genre, le spectacle ne dĂ©semplit que rarement. Ajoutons Ă l'ensemble un grondement de basses qui frĂŽle la zone de travaux urbains... Notons que la VF DTS forcĂ©ment un peu moins pĂȘchue, ne serait-ce que pour le rendu des voix, s'en sort plutĂŽt efficacement. Bonus 4/20 Le Blu-Ray reprend l'intĂ©gralitĂ© des bonus proposĂ©s sur la derniĂšre Ă©dition collector. Ceci dit, on ne va pas vous mentir l'interactivitĂ© de Predator 2, notamment son second disque demeure une Ă©norme dĂ©ception de part l'absence d'un vrai documentaire rĂ©cent l'absence de Danny Glover s'en fait d'ailleurs bien ressentir et bien plus encore lorsque le supplĂ©ment majeur n'est qu'un vulgaire miroir aux alouettes bricolĂ© Ă partir de broutilles. Dommage. Ces bonus ont au moins le mĂ©rite d'ĂȘtre lĂ , eux... contrairement Ă ceux absents du Blu-Ray du premier Predator ! On y retrouve donc Les deux pistes de Commentaires audio recueillant les propos du rĂ©alisateur sur une piste et des scĂ©naristes sur une autre. Alors qu'il aurait Ă©tĂ© plus judicieux de joindre les trois bougres ensembles, Hopkins se retrouve seul dans sa bulle Ă paraphraser les propos de ses deux confrĂšres un poil plus enthousiastes. Pour le reste, rien de rĂ©volutionnaire dans des commentaires des plus classiques "ce jour lĂ il faisait chaud", "Ici c'est un mannequin'', ''On ne voulait pas retourner dans la jungle" etc. mais qui demeurent nĂ©anmoins les seuls supplĂ©ments de poids puisque c'est ensuite que les choses se gĂątent. En effet, Les chasseurs et les proies 35min41 reste une grosse dĂ©ception ! MalgrĂ© sa durĂ©e exhaustive et son ambition rĂ©solument orientĂ©e vers la rĂ©trospection, ce faux making of montĂ© de bric et de broc n'est en rĂ©alitĂ© qu'une longue featurette promo conçue Ă partir de petits bouts d'interviews prises sur le vif hormis celle de Stephen Hopkins, seul intervenant Ă bien vouloir revenir sur le film. Nous n'y apprendrons malheureusement rien si ce n'est que Gary Busey s'amuse Ă couper la parole de ses partenaires pendant leurs entretiens et que tout le monde s'Ă©clate bien avec les autres. Seules les dix derniĂšres minutes nous Ă©clairent un tantinet sur les conditions de tournage sur le toit avant la chute du Predator ainsi qu'une petite visite guidĂ©e Ă travers le dĂ©cor du vaisseau oĂč l'on nous explique la prĂ©sence du crĂąne Alien. On passe ensuite aux petits documents annexes. Evolutions 6min16 propose quatre modules qu'il est possible de visionner d'une traite ou indĂ©pendamment les uns des autres s'appliquent Ă dĂ©crypter quatre effets visuels du film le gĂ©nĂ©rique, l'attaque dans le mĂ©tro, la premiĂšre apparition du Predator sur le toit et la conception des pas invisibles dans la flaque d'eau. C'est d'ailleurs cette derniĂšre partie qui retiendra le plus notre attention de part la mĂ©thode utilisĂ©e et la difficultĂ© endurĂ©e pour obtenir un effet toujours aussi saisissant aujourd'hui. En revanche, Armes de choix 6min49 Plus que dispensable, cette section gadget nous ramĂšne Ă l'ignoble featurette internet de Alien Vs Predator ou le jeune stagiaire Paul Anderson nous exposait fiĂšrement la galerie des armes utilisĂ©es dans son film d'Ă©tudiant. On y dĂ©couvrira entre autres que les lames tranchantes peuvent couper et que les rayons laser peuvent brĂ»ler... Fascinant ! La Galerie promo 12min26 est un regroupement des 3 bandes annonces et des 5 spots TV officiels ainsi que des trois featurettes promos 3min03, 5min41, 3min40 qui auraient pu fournir de jolis documents d'archives s'ils n'avaient pas Ă©tĂ© tous utilisĂ©s et triturĂ©s pour concevoir le "Making of" gĂ©nĂ©ral. Plus agaçant qu'autre chose aprĂšs la dĂ©confiture subie suite au visionnage du document principal du DVD, on a qu'une seule envie ne plus regarder ce genre de chose. On achĂšve bien les chevaux, pourquoi pas le spectateur ? Pas la peine d'espĂ©rer apercevoir dans Extraits de Hard core 7min05 quelques sĂ©quences trashs coupĂ©es au montage puisqu'il s'agit juste des versions longues des flashs TV intervenant Ă deux reprises dans le film. Vous avez dit inutile ? GagnĂ© ! Predator 2 Sortie 19 Novembre 2008
Synopsis Les deux plus mythiques franchises de la science-fiction, Alien et Predator, reprennent leur combat sans merci. Cette fois, il sera impossible de leur Ă©chapper, leur terrain de chasse Ă©tant... la Terre. Offres VOD de Aliens Vs Predator- Requiem Critiques de Aliens Vs Predator- Requiem Une bonne idĂ©e ne suffit pas Ă faire un bon film. Le cross over Alien versus Predator pouvait ĂȘtre sĂ©duisant et le rĂ©alisateur Paul WS Anderson Event Horizon, Resident Evil⊠ne sâen Ă©tait pas si mal tirĂ© avec le premier opus avec lequel on pouvait craindre le pire. Pour le pire, il a donc fallu atteindre ce second Ă©pisode rĂ©alisĂ© par les frĂšres Strause. Et dire quâils sây sont mis Ă deux pour faire ça. Avec un budget revu Ă la baisse il a donc fallu trouver des astuces. La principale idĂ©e des rĂ©alisateurs mettre en scĂšne lâaction uniquement de nuit. Conclusion on se ne casse pas trop pour les dĂ©cors, les effets spĂ©ciaux, les figurants mais on nây voit pas grand-chose non plus. Autant dire quâon ne comprend pas forcĂ©ment tout ce qui se passe Ă lâĂ©cran et que ce ne sont pas les rares dialogues bien souvent pathĂ©tiques qui nous Ă©clairent sur le sens profond de tout ça. Bref, on ressort de ce visionnage frustrĂ© mais pas vraiment surpris en se disant que sâils sortent un troisiĂšme Ă©pisode il ne sera peut-ĂȘtre pas utile de perdre encore plus dâ1h30 de son temps. DerniĂšres News sur Aliens Vs Predator- Requiem Casting de Aliens Vs Predator- Requiem
Dommages collatĂ©raux Alors que le vaisseau des predators quitte la terre avec Ă son bord des oeufs dâalien, une crĂ©ature nouvelle jaillit du corps dâun de leurs congĂ©nĂšres et lâastronef sâĂ©crase sur terre dans une forĂȘt, libĂ©rant ainsi sa monstrueuse cargaison! Les predators envoient alors lâun des leurs rectifier lâerreur. Mais entre temps, le predalien » et quelques aliens normaux prennent dâassaut la petite ville dâĂ cĂŽtĂ©. Va alors sâengager un terrible combat au milieu duquel les humains vont se retrouver, en charpie le plus souvent⊠Cette suite reprend lĂ exactement oĂč le prĂ©cĂ©dent se terminait, c'est-Ă -dire dans le vaisseau des predators quittant la terre. Alors est-elle meilleure que le premier opus? La rĂ©ponse est oui. Est-ce un bon film la rĂ©ponse est non. DĂ©truit-il une fois de plus les deux mythes la rĂ©ponse est oui et non ! Reprenons donc point par point! Le film est bien meilleur que le premier. Cette fois-ci le scĂ©nario va au bout de son concept et nous offre au moins une crĂ©ature nouvelle, attendue tout au long du premier film le prĂ©dalien, imposant, encore plus machiavĂ©lique et d'un design surprenant ! Ses empoignades avec le predator comptent parmi les meilleurs moments du film, mĂȘme si certaines idĂ©es comme sa façon de se reproduire posent de nouvelles questions. Et apporte de nouvelles espĂ©rances déçues ! Ensuite, Ă la question concernant l'Ă©ventuel bon film, il faut opposer un scĂ©nario qui s'arrĂȘte au bout de 15 minutes, sans qu'aucune surprise ne vienne faire rebondir le suspens, des personnages absents et caricaturaux et une rĂ©alisation simple, sans rythme ni style pourtant une des marques de fabriques des deux franchises. Le spectateur, une fois de plus, est pris pour un demeurĂ©, car au lieu de multiplier les effets en additionnant ces deux crĂ©atures mythiques, la production a simplement rĂ©ussit Ă dissoudre ce bestiaire digne de la littĂ©rature fantastique anglo-saxonne de la fin du 19Ăšme siĂšcles Dracula, La crĂ©ature de Frankestein et autres momie.... MalgrĂ© cela le fait de voir les pauvres humains finir en hachis Ă chacune de leur tentative relĂšve d'un cĂŽtĂ© jouissif, car ni les femmes enceintes ni les enfants ne sont Ă©pargnĂ©s ! Enfin pour rĂ©pondre Ă la troisiĂšme question que reste-t-il aprĂšs ce film ? Et bien un alien en fort mauvaise posture, relĂ©guĂ© au rang de simple crĂ©ature vorace et sanguinaire, mais qui n'inspire plus de respect sauf si on la dilue dans d'autre ! et un predator toujours aussi majestueux qui comme chasseur demeure le plus fort. FilmĂ© sous les meilleurs angles, il a visiblement les faveurs des deux rĂ©alisateurs ! Alors pour relancer ces deux franchises, une seule solution, que chacun retourne de son cĂŽtĂ©, qu'un grand rĂ©alisateur, au goĂ»t et au style exigeant, reprenne la sĂ©rie des aliens, et qu'un autre visionnaire, diablement efficace retrouve le predator. Enfin c'est plus simple Ă dire qu'Ă faire ! Envoyer un message au rĂ©dacteur
Programme TV /Aliens vs Predator, requiemDisponible dans une option payanteFilms - Science-fictionNon diffusé en ce moment à la télévisionFilms - Science-fictionAux abords d'un petit village du Nord des Etats-Unis, un vaisseau spatial s'écrase. TrÚs vite, une créature malfaisante s'en échappe. Mais elle n'est pas abords d'un petit village du Nord des Etats-Unis, un vaisseau spatial s'écrase. TrÚs vite, une créature malfaisante s'en échappe. Mais elle n'est pas Molotov pour regarder la TV diffusé en ce moment à la télévision
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